mardi 30 octobre 2012

Mort d'un commis voyageur : Entretien avec Valérie Marinese

Propos recueillis pendant le cours de Médiation Culturelle en Rhône-Alpes de Mme Kiehl en présence de Valérie Marinese, actrice et metteur en scène, et Marie-Françoise Palluy-Asseily, chargée des relations publiques au théâtre des Céléstins.


A l’occasion de la représentation de Mort d’un commis voyageur, au théâtre des Céléstins, notre classe a eu le plaisir de recevoir Valérie Marinese interprétant la Femme et Mademoiselle Forsythe ainsi que Marie-Françoise Palluy-Asseily; chargée des relations publiques au théâtre des Céléstins et qui a participé à l’élaboration du dossier pédagogique de cette pièce.



La pièce: Mort d'un commis voyageur

Willy Loman est commis voyageur depuis 35 ans dans la même entreprise. Il a deux enfants pour lesquels il nourrit de grandes ambitions Biff et Happy. Déçu par le premier suite à son échec scolaire, il entre en conflit avec lui. Willy a donc le sentiment d'avoir échoué en tant que père. Puis, vient le licenciement, sa carrière prend fin violemment. Il va alors se perdre dans les souvenirs d'une époque plus heureuse, où tout était encore possible.

Une multitude de thèmes sont abordés dans la pièce, une multitude de valeurs et de clichés. Le plus troublant lorsque l’on assiste à une représentation de cette pièce est l’étrange actualité des thèmes. On peut aisément s’identifier, nous, habitants du XXIème siècle, à cette société d’après-guerre fondée sur le capitalisme, l’ambition, la réussite et les valeurs familiales. Comment ne pas se reconnaître, aujourd’hui, en un homme qui a mis toute son énergie dans son travail et qui finit par être renvoyé parce qu’il n’est plus aussi performant, presque démodé. Comment ne pas se reconnaître, aujourd’hui, dans cette femme, qui malgré les drames, soutient et aime son mari. Et comment ne pas reconnaître dans les personnages d’Happy et Biff, nos propres enfants qui se moquent déjà ou se moqueront de nous parce que nous n’avons pas les mêmes valeurs que les jeun’s ! Le plus effrayant, il me semble, est que cette situation est devenue plus que banale aujourd’hui.
Mort d’un commis voyageur est comme un écho à nos vies. Un écho bien trop puissant pour certain si l’on s’en réfère au silence presque macabre dans la salle lors de la représentation. Cette puissance est portée par un casting formidable qu’on ne peut que féliciter et soutenir pour un tel engagement dans leurs personnages et plus particulièrement François Marthouret qui interprète le personnage principal de Willy Loman. Autour de ce personnage gravite personnages réels, allégories et figures illustrant sa vie, son passé, ses états d’âmes.
A vous de savoir si dans cette situation, vous feriez comme Willy ? Choisiriez-vous l’obéissance au système fondé sur l’argent qui vous conduira finalement à vous suicider ? Ou feriez vous comme Biff ? Être lucide, accepter l’idée que l’on peut être un « bon à rien » et renoncez à tout ce système ? Ce choix vous appartient.

Interview de Valérie Marinese



Thomas Lenoir ©
à propos de cette pièce...
"Le théâtre américain des années 50 a été un peu mis au placard ces dernières années en France. Aujourd’hui, on redécouvre ce théâtre avec Arthur Miller qui a un sens des dialogues magnifique : original, direct. Ce théâtre parle de nous, tous les membres de l’équipe artistique ont pu s’identifier aux personnages, à cette cellule familiale. C'est un théâtre qui m'a beaucoup touchée! C'est un théâtre qu'il faut montrer parce qu'il nous questionne et nous aide à envisager l'avenir. Le théâtre est là pour faire réfléchir. Pour moi, le théâtre est aussi un acte politique."
Que pensez-vous de l’écriture de Miller ?
  • Valérie Marinese : « Le théâtre de Miller est un théâtre réaliste, « psychologique » bien qu’il fasse intervenir des flashbacks et des revenants. Pendant les répétitions, l’équipe artistique pouvait sentir que François (Marthouret) avait été tourmenté par son personnage. Ca a provoqué chez lui des choses très personnelles. On ne sort pas indemne de ce genre de rôle. »                     
  • Christine Kiehl : "Le théâtre psychologique implique un engagement émotionnel dans un jeu très physique : on ne peut le jouer autrement qu'en l'incarnant viscéralement. La pièce de Miller enrichit cette incarnation psychologique d'une dimension mythique, philosophique, symbolique"

Vous nous parlez de « théâtre psychologique » n'est-ce pas trop dur de se plonger dans une pièce comme ça, bouleversante?
Valérie Marinèse : « Ce qui peut être éprouvant c'est surtout la période de répétition, on est plus tourmentés, comme la pièce est jouée et a pris son rythme l'envie qu'on a tous maintenant c'est de la partager tous les soirs, ce sont de grands moments d'émotions où les personnages se livrent, après la représentation on se sent bien. »
Quels ont été les choix de mise en scène? Si vous deviez mettre cette pièce en scène que changeriez vous?
  • Valérie Marinèse : "Je suis comédienne mais je commence aussi à faire de la mise en scène. Notamment, l’une des premières idées de Claudia Stavisky (metteur en scène et co-directrice artistique du théâtre des Celéstins) étaient de distinguer les scènes se passant dans la réalité, l’instant présent et les flashbacks. Pour cela, les flashback, comme on peut le voir dans la pièce, sont pleins de couleurs et vifs alors que les scènes actuelles se passent en noir et blanc, comme pour accentuer, l’aspect terne, triste, de plus en plus sombre de la vie des Loman.La question s’est longuement posée de savoir comment faire exister ça au théâtre? Je pense aux éléments qui flottent et qui apparaissent et qui enlèvent le réalisme (les lits qui entrent et qui sortent, de manière magique, représentent un énorme travail en coulisse) ils sont comme des respirations, notamment à la fin."
  • Marie-Françoise Palluy-Asseily : « Plus le temps passe et plus Claudia a envie d’épurer sa mise en scène, d'aller vers le stylisé et le beau. »
  • Christine Kiehl: "Le fonctionnement du décor crée l'enfermement. Transparence du dedans-dehors, la scène représente l'univers mental du personnage. Le compositeur (Jean-Marie Sénia) s’est inspiré des didascalies de Miller pour ses compositions."
  • Valérie Marinese : « L’univers sonore est aussi très important pour moi, ça rend la pièce vivante, charnelle. »

Dites-en nous plus sur les personages?
Valérie Marinese : "Pour ma part, je n'ai pas un rôle très « important » dans cette pièce, mais il n'y a pas de petit personnage. Dans cette pièce, on a la figure de Willy Loman, sa femme et leur deux enfants. C'est ce quatuor qui forme les fondations de cette pièce, mais tous les personnages qui gravitent autour apportent quelque chose et nous font découvrir des choses.
Mon personnage joue la maitresse de Willy qui éduque ses enfants avec une morale extrême et fonde tout sur la réussite sociale, on apprend que lorsqu'il part sur les routes la moralité dépasse tout ça, cette pièce est une tragédie."
Concernant la direction d'acteurs, Claudia Stavisky a-telle a une idée très précise ou est-elle plutôt libre?
Valérie Marinese : « Nous avons eu la chance de répéter 2 mois, ce qui est très rare. Elle est plutôt libre, on a commencé les répétitions par des lectures, elle nous a vraiment choisis et nous a fait confiance, il y a eu un travail d'échange entre ce que nous proposions et elle, c'était un travail collectif, mais le metteur en scène obligé de donner des pistes.On sentait Claudia heureuse de travailler sur ce texte. On sent que ce théâtre là la touche énormément. Les répétitions étaient agréables, nous étions en confiance. »
Est-ce qu'en tant que comédienne c'est plus difficile d'avoir un metteur en scène autoritaire ou plutôt libre?
Valérie Marinese : « C'était bien pour moi que ça arrive aujourd'hui, besoin de me remettre en question, j'adore travailler avec des metteurs en scène qui dirigent beaucoup et j'adore aussi proposer. C'est important de pouvoir renouveler sa manière de travailler. »
On sait très peu de choses de votre personnage, comment vous la représentez vous, quelle vie lui avez-vous inventée?
Valérie Marinese : « Je me suis bien sûr imaginé qu'elle aimait vraiment cet homme là, d'ailleurs je le revis tous les jours. C'est une figure importante parce qu'elle est en contreplan avec la femme de Willy, qui est soumise et aimante, elle c'est l'inverse, c'est une femme libre, il a été dit dans un article d'un journal catho que c'était une « prostituée » mais c'est sa maîtresse. »
Que pensez- vous de l’image de la femme véhiculée dans cette pièce?
  • Christine Kiehl: « Cela renvoie à la condition de la femme qui a évolué depuis les années 50, mais pas suffisamment. Comment sortir de ça ? »
  • Marie-Françoise Palluy-Asseily : « Le personnage de Linda, presque une héroïne de la tragédie, femme forte, elle existe dans sa soumission, c'est le socle de Willy. »

On a véritablement l'impression qu'elle fait exprès de sortir de la salle de bain, qu'elle nargue Biff, pourquoi selon vous? Voulait-elle provoquer le divorce?
Valérie Marinese : « C'est un flash back, un souvenir exacerbé, qui devient monstrueux. Ce n'est pas nécessairement laréalité, je ne suis pas partie du fait qu'elle était consciente que c'était son fils. C'est glauque oui, insupportable de voir cette femme qui minaude, un peu sous l'effet de l'alcool d'ailleurs, mais je n'ai pas envie de me dire qu'elle se rend compte que c'est son fils.
Ce personnage est une allégorie. Cela se ressent très bien dans la scène, dans la cuisine lorsque Willy serre ses bras dans sa femme et que sa maitresse se balade tranquillement à côté. Il y a celle qui l’aime et celle qui le hante.  »

Est ce une critique de l'infidélité?
  • Valérie Marinese : "Non, cela remet plutôt en question la notion de communication entre le père et le fils.Quand un enfant découvre ça, c’est dramatique et ça pose le problème de la communication. C’est une tragédie que Biff arrive à ce moment là. La façon dont Willy élève ses garçons est mise à mal ici, l’image idéalisée du père s’écroule."
  • Christine Kiehl: « La pièce  a été écrite en 1949 et reflète la société américaine de l'époque, le puritanisme, les valeurs fortes  de la famille, et celles du travail, le rêve américain de la réussite sociale" qui s'effondre pour Willy et le démolit. »

mardi 23 octobre 2012




CULTURAL MEDIATION: Cultural what?!?

         
What is cultural mediation? What this « newly » created expression refers to? Actually, since its creation, it has referred to a lot of things in different fields: museums, theatres, communication, social.... The point of this article is not to give you a complete definition of cultural mediation, I won’t be able anyway. However, I will do my best to give a general idea of cultural mediation, which jobs are part of cultural mediation and which are the studies that lead to those jobs?

            First of all, I would like to give you this definition of cultural mediation by Daniel Jacobi in his book La communication scientifique : discours, figures, modèles of 1999 :

« La médiation correspond à toutes les formes dintervention à caractère culturel organisées à lattention des visiteurs. Elle est médiation dans la mesure elle se situe entre le patrimoine et les publics avec la volonté de contribuer, aussi bien à favoriser le moment de plaisir de la découverte ou un temps de délectation, quà faciliter le travail dappropriation de connaissance. Lidée de lintermédiaire postule implicitement la nécessité de modifier un rapport qui, précédemment, était établi sans tiers médiateur. »

            Thus, the goal of cultural mediation is the democratisation of a culture that would not be accessible, understandable by a part of the population without an explanation (honestly, can you understand why Marcel Duchamp made up his mind to tear a urinal off and exhibit it? If you don't know anything about the art movement Dada or the readymade period of Duchamp, you can’t fully apprehend this work of art).  Cultural mediation is, in that sense, a sharing of knowledge.
            The relation between the culture, art or whatever is presented, the « médiateur » and the public is not unilateral; it is the encounter or confrontation of a wide range of cultures. Members of the audience are often called upon to give their point of view, to critic what they have just seen, if not with the médiateur, with their friends or family that accompanied them. Here it is very important to make the distinction between mediation and communication.
            Indeed, cultural mediation is different from communication because it makes resources available to all, establishes a critical dialogue between the works of art, the space (or institution) and the public. However communication is a unilateral stream of information that gives to the public a general idea of the institution or event. It encapsulates all the means to convey the information. The goal of communication is to give more visibility to the structure or the event, to promote them.
            I would even say (and this is totally open for debate) that communication serves the mediation as it invites the public to come and take part in its actions whereas the role of the médiateur is not to sell an exhibition or a show, it is for instance to develop a cultural programmation in accordance with the institution cultural goals and policies.
               

     That leads us directly to my second part of this article: which professions can be considered as cultural mediation? We can say that there are two sorts of cultural mediation professions as there are two sorts of mediation:
ñ     direct mediation : the médiateur is present and relies on the public. He must observe and anticipate the audience's reactions and adapt his discourse consequently (change the pace; change the itinerary of the visit...)
ñ     indirect mediation : it includes all the propositions that can be used or not by the public during its visit. This kind of mediation addresses a public that will use the information on a support (booklet, leaflet, App…) at their own rhythm.

Thus, the cultural mediation professions include either guide, cultural or national speaker, guide-interpret (there are already a lots of jobs that can be associated with cultural mediation!) or museograph, director of the cultural action, consultant in cultural engineering… You can also work in different fields: heritage, museums, theatres… and in different institutions: Musées de France, local governments, associations…
           

Now I would like to explain to you what is expected from a médiateur (in other words, do you have what it takes to become a médiateur?). First of all, I would like to make an announcement:

BEING SHY DOESN’T KEEP YOU AWAY FROM BEING A MEDIATEUR.

I am saying that for all the people that are very fond of arts and culture and who would love to share their passion with other people (and the public needs people like you!) but think it is simply impossible because they are shy and they cannot talk in front an audience. From my experience, and God knows I am one of the shyest creature on this planet (apart from wild cats, wolves, sloths… okay, I’ll stop rambling) and I am perfectly able to talk in front of the public, you just need to love what you’re doing, once you’ re into it, it comes out of your mouth very naturally. You can also learn everything you can on the “thing” you are presenting, that way, you won’t be afraid of not knowing the answers of the questions the public might ask. Finally, if you really are agoraphobic, you can still take part in the cultural mediation of the place you work for by organising the cultural activities or create events for instance. You will work in an office, you’ll be awfully busy but you won’t be required to talk in front of an audience. 
Now that this is said, the typical requirements for cultural mediation professions are:
  •     being interested in arts and culture (obviously!)
  •     being creative (according to me, this is one of the most important requirements)
  •    being able to identify the different types of publics and adapt your visit or what you write in accordance 
  •     being enthusiastic
  •     being dynamic (or people will get quickly bored during your visit)
  •     

           
Finally, I will draw a non-exhaustive list of the different studies which train you in cultural mediation.
Most of the communication schools or communication departments of universities offer trainings in cultural mediation such as the Université Paris 3. There are one B.A Degree in cultural mediation and no less than six M.A Degree.
But History or Art departments of universities offer trainings in cultural mediation as well. Here, at the Université Lyon 2, you have six B.A Degree such as History of Art or Cultural and Artistic Activities and five M.A Degree like Music or cinematographic studies
       As for me, I made up my mind to go to Quimper to graduate in History of Art with the option: Animation of Artistic and Architectural Management from the I.U.P Métiers des Arts et de la Culture. Then, from the same I.U.P, I got the M.A Degree in Culture and Heritage Management. In comparison to traditional universities, the I.U.P is more professional in a sense that half of the courses are taught by professionals in cultural mediation (festival directors, curators…). What is more, you have to carry on an internship every year in order to graduate. There are the same sorts of trainings at Lorient and Arras universities. And, of course, there is the famous Ecole du Louvre that will train you at pretty much every job in cultural mediation.


             I hope you will find this article useful. Obviously, I didn’t write a thesis on cultural mediation: I just intended to give a general idea of cultural mediation. This article gives me the opportunity to open the first debate:

MEDIATION AND COMMUNICATION: IS THERE A DIFFERENCE?



Webography:
Two links on cultural mediation.

You can find a more detailed list of all of that on the Ecole Du Louvre website.



Here is the address of the université of Paris' website on which you can find more detailed information:


Here is the address of the université of Lyon's website on which you can find more detailed information:


I.U.P of Quimper:
http://formations.univ-brest.fr/fiche/FR_RNE_0290346U_PROG19807/FR_RNE_0290346U_PROG24975/presentation

Université de Bretagne Sud:

I.U.P of Arras: just google it as the university's website is not available as I am writing my article

Ecole Du Louvre:




mardi 16 octobre 2012

The Winter's Tale


"(...)A multinational cast brings this fable to life in a style that we hope would have satisfied the groundlings at the Globe Theatre. You'll boo and hiss the deluded Sicilian King Leontes (unless you think maybe he's right!), you'll swoon for the blameless Queen Hermione (if you think she really is blameless!), you'll cheer the dashing King Polixenes of Bohemia, played by a real Bohemian - well from a country that is quite close to where Bohemia used to be anyway (unless you find all that cutesy, touchy-feely stuff he does with Hermione a bit creepy), you'll sympathise with Camillo, the poor put-upon court adviser who has to flee his country (unless you think it's a bit weird the way he keeps going on about how he loves kings), you'll weep for the senseless loss of life and the incredible gullibility of the Bohemian peasants, you'll cower as Paulina, the court feminist fighting for justice threatens to scratch people's eyes out, your heart will go out to the sweet young shepherdess so lost in love to a handsome young prince (or is she just a gold-digger?), you'll gasp when a mysterious, lifelike statue actually COMES TO LIFE! (unless you'd already worked out it wasn't a statue in the first place!).
Yes, it's got all the usual Shakespeare stuff, clever word-smithing, rhyming couplets, stupid jokes, laughably unconvincing disguises that a four-year-old child could see through, gratuitous raunchiness, and a bear! All-in-all a rollicking good night out (provided you suspend your disbelief) - book your seat now."
Extrait du résumé de la pièce présent sur le site de la compagnie


Représentation du 5 octobre, 20h.

www.linetheatre.com
"What a wonderful night ! I assisted the premiere of The Winter's Tale by the Line Theater. The theatre was full. The atmospher cosy and warm, the audience relaxed. We were welcomed by the sound of the lute in the corner of the stage, which immersed us in the play.
La première partie de la pièce est lancée. Tragique et belle, les acteurs déroulent, nous invitent et nous prennent à témoin du drame qui se joue. on assiste consternés à la folie grandissante d'un Leontes tyrannique et touchant. Seul bémol, la voix de certains acteurs qui ne porte pas suffisamment!
Interval.
And... Let the show begin! The amazing entrance of Keith Farquhar, alias Autolycus. The comedy starts with rock and glitter (and a surprising denim jacket). Creating a delicious contrast with the luth and the atmosphere of the first part. The delicate Hermione who turned herself into the famous bear who pursue Antigonus, makes us smile. We also enjoy the old shepherd (Ian Lamb) and his son Felix Laube) thoroughly.
On a le coeur tendu jusqu'à l'entracte, on repart le coeur léger d'une deuxième partie particulièrement réussie, drôle, et touchante, tant dans la mise en scène que dans le jeu des acteurs. (on salue également la jolie performance de Paulina, Jolanda Mpelé).
En résumé, une très belle représentation, qui donne envie de relire la pièce pour se remémorer cette belle soirée."


Anastasia JACOB

*Lorsqu'on a parlé de la pièce en classe, certains élèves étaient déçus, est-ce qu'ils pourraient nous envoyer leur critique?



à venir à Lyon2...




Festival "Doc en courts" 11ème édition: 
du 28 novembre au 1er décembre, au Musée des Moulages
Plus d'infos: http://www.docencourts.com/










Fêtes des Lumières: 
du 6 au 9 décembre, exposition au Musée des Moulages (besoin de bénévoles pour l'accueil, le montage et l'installation de l'exposition à partir du 2 décembre, contacter Patrice Charavel, directeur du service des affaires culturelles).




© Michel Séméniako "Lucioles"

Conférences:
Cycle "Préférences Photographiques" du 15 novembre au 14 décembre, Musée des Moulages exposition de Michel Séméniako. Plus d'informations

Pussy Riot: conférence, 14 décembre, Musée des Moulages






© Olivier Roller




Exposition: Olivier Roller, "Image et Pouvoir" à venir...


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